Consommation de sucre raffine
Publié : jeu. 16 déc. 2004, 23:29
Ma reponse: "j'ai deja essaye d'arreter mais c'est trop dur"
On a parle de "clopes et cales" dans ce forum, mais n'ayant jamais fume, ni pris aucune drogue, je me suis tout de meme rendu compte d'une addiction majeure dans ma vie: la consommation d'aliments sucres.
Se passer d'un dessert etait un enfer et rares etaient les jours ou je ne consommais pas au moins un aliment au gout sucre (je parle la de sucre raffine, non pas de miel ni de fruits secs).
Un pote qui est tres sportif a remarque des ameliotations impressionnantes de ses performances apres avoir arrete toute consommation de sucre raffine et de produits qui en contiennent. Donc je suis en train d'arreter progressivement mais honnetement je me sens comme un toxicomane qui essaye de decrocher.
Je ne voudrais pas passer pour le petit qui s'occupe que de sa sante, c'est aussi un exercice interssant au niveau mental, surtout pour ceux qui se considerent sans addiction. Comme certains l'ont dit pour la clope l'envie ne dure pas longtemps et finalement n'a pas tant de poids que ca. Le probleme est surtout qu'on va a contre courant de la societe car ce sont des habitudes profondement ancrees, meme si elles ne datent pas de si longtemps (voir historique a la fin)
Je vous propose un texte extrait du livre de Danièle Starenkyj, "Le mal du sucre" éditions Orion
En 1912, le docteur Robert Boesler affirme : «La fabrication moderne du sucre a entraîné des maladies complètement nouvelles. Le sucre du commerce n'est rien d'autre que de l'acide cristallisé. Si dans le temps passé le sucre était tellement cher que seuls les riches pouvaient se permettre de l'utiliser, cela était du point économique national, sans conséquence. Mais aujourd'hui quand, à cause de son bas prix, le sucre a entraîné la dégénérescence du peuple, il est temps d'exiger une mise en garde nationale. La perte d'énergie par l'usage du sucre au siècle dernier et au début de ce siècle ne pourra jamais être rattrapée car elle a laissé sa marque sur notre race. (...) Ce qui a été détruit par le sucre est perdu et ne pourra jamais être retrouvé.»
En 1925, le sucre est reconnu comme une cause importante de maladie et d'obésité.
Dans les années 40, on entend dire que le sucre est un aliment pour lequel l'individu développe "un goût excessif" et une véritable dépendance, et qu'il ne donne rien d'autre que des calories vides.
En 1950, on déclare officiellement qu'il est la cause majeure de la carie dentaire.
En 1960, on a les preuves qu'il diminue la résistance du corps aux maladies. On découvre également la relation étroite qui existe entre l'usage du sucre et les infections staphylococciques.
En 1970, le docteur John Yudkin déclare sans ménagements : «Premièrement, il n'y a aucun besoin physiologique pour le sucre. Tous les besoins de la nutrition humaine peuvent être complètement comblés sans avoir à prendre une seule cuillerée à thé de sucre blanc, de sucre brun ou de sucre brut, tel quel, dans les aliments ou dans les boissons.
Deuxièmement, si seulement une petite fraction de ce qui est déjà connu au sujet des effets du sucre devait être révélée et mise au compte d'un quelconque additif alimentaire, cet additif serait promptement interdit.»
En 1980, le docteur Abram Hoffer affirme que «le sucre produit une assuétude aussi grave que n'importe quelle autre drogue. La seule différence entre la dépendance envers l'héroïne et la dépendance envers le sucre est que le sucre n'a pas besoin d'être injecté, il peut être consommé immédiatement parce qu'il est disponible et il n'est pas considéré comme une plaie sociale. Cependant la puissance de la dépendance au sucre est aussi forte que la dépendance à l'héroïne»
Le docteur Hoffer conclut : «La dépendance au sucre cause des symptômes typiques aussi graves que ceux qui accompagnent le sevrage de n'importe quelle autre drogue» Il est, à la lumière de cette déclaration d'un médecin habitué aux désintoxications, facile de comprendre pourquoi, lorsque l'on parle du sucre, la majorité des gens réagissent avec violence et agressivité.
Ils se sentent douloureusement menacés dans leur toxicomanie puissante.
Il y a maintenant 400 ans que le mal du sucre livre notre race à la déchéance sociale, physique, morale et intellectuelle. Aujourd'hui, alors que le sucre attaque son pancréas et l'amène à une hypersensibilité qui l'entraîne à détruire le glucose du sang, alors que le café, le thé, les colas et le tabac épuisent ses surrénales qui ne réussissent plus à élever le glucose du sang, alors que la farine blanche et l'alcool affaiblissent son foie qui n'arrive plus à stocker correctement puis à relâcher le glucose dans le sang, pour l'homme de la fin du 20ème, le mal du sucre s'appelle : L' HYPOGLYCÉMIE.
Evolution approximative de la consommation de sucre dans les "pays évolués",
au cours des 300 dernières années, par personne et par an :
En 1700 2 kilos par personne et par an
En 1800 8 kg
En 1900 38 kg
En 1933 48 kg
En 1970 55 kg
et de nos jours, dans certains pays, cette consommation approche les 90 kg
On a parle de "clopes et cales" dans ce forum, mais n'ayant jamais fume, ni pris aucune drogue, je me suis tout de meme rendu compte d'une addiction majeure dans ma vie: la consommation d'aliments sucres.
Se passer d'un dessert etait un enfer et rares etaient les jours ou je ne consommais pas au moins un aliment au gout sucre (je parle la de sucre raffine, non pas de miel ni de fruits secs).
Un pote qui est tres sportif a remarque des ameliotations impressionnantes de ses performances apres avoir arrete toute consommation de sucre raffine et de produits qui en contiennent. Donc je suis en train d'arreter progressivement mais honnetement je me sens comme un toxicomane qui essaye de decrocher.
Je ne voudrais pas passer pour le petit qui s'occupe que de sa sante, c'est aussi un exercice interssant au niveau mental, surtout pour ceux qui se considerent sans addiction. Comme certains l'ont dit pour la clope l'envie ne dure pas longtemps et finalement n'a pas tant de poids que ca. Le probleme est surtout qu'on va a contre courant de la societe car ce sont des habitudes profondement ancrees, meme si elles ne datent pas de si longtemps (voir historique a la fin)
Je vous propose un texte extrait du livre de Danièle Starenkyj, "Le mal du sucre" éditions Orion
En 1912, le docteur Robert Boesler affirme : «La fabrication moderne du sucre a entraîné des maladies complètement nouvelles. Le sucre du commerce n'est rien d'autre que de l'acide cristallisé. Si dans le temps passé le sucre était tellement cher que seuls les riches pouvaient se permettre de l'utiliser, cela était du point économique national, sans conséquence. Mais aujourd'hui quand, à cause de son bas prix, le sucre a entraîné la dégénérescence du peuple, il est temps d'exiger une mise en garde nationale. La perte d'énergie par l'usage du sucre au siècle dernier et au début de ce siècle ne pourra jamais être rattrapée car elle a laissé sa marque sur notre race. (...) Ce qui a été détruit par le sucre est perdu et ne pourra jamais être retrouvé.»
En 1925, le sucre est reconnu comme une cause importante de maladie et d'obésité.
Dans les années 40, on entend dire que le sucre est un aliment pour lequel l'individu développe "un goût excessif" et une véritable dépendance, et qu'il ne donne rien d'autre que des calories vides.
En 1950, on déclare officiellement qu'il est la cause majeure de la carie dentaire.
En 1960, on a les preuves qu'il diminue la résistance du corps aux maladies. On découvre également la relation étroite qui existe entre l'usage du sucre et les infections staphylococciques.
En 1970, le docteur John Yudkin déclare sans ménagements : «Premièrement, il n'y a aucun besoin physiologique pour le sucre. Tous les besoins de la nutrition humaine peuvent être complètement comblés sans avoir à prendre une seule cuillerée à thé de sucre blanc, de sucre brun ou de sucre brut, tel quel, dans les aliments ou dans les boissons.
Deuxièmement, si seulement une petite fraction de ce qui est déjà connu au sujet des effets du sucre devait être révélée et mise au compte d'un quelconque additif alimentaire, cet additif serait promptement interdit.»
En 1980, le docteur Abram Hoffer affirme que «le sucre produit une assuétude aussi grave que n'importe quelle autre drogue. La seule différence entre la dépendance envers l'héroïne et la dépendance envers le sucre est que le sucre n'a pas besoin d'être injecté, il peut être consommé immédiatement parce qu'il est disponible et il n'est pas considéré comme une plaie sociale. Cependant la puissance de la dépendance au sucre est aussi forte que la dépendance à l'héroïne»
Le docteur Hoffer conclut : «La dépendance au sucre cause des symptômes typiques aussi graves que ceux qui accompagnent le sevrage de n'importe quelle autre drogue» Il est, à la lumière de cette déclaration d'un médecin habitué aux désintoxications, facile de comprendre pourquoi, lorsque l'on parle du sucre, la majorité des gens réagissent avec violence et agressivité.
Ils se sentent douloureusement menacés dans leur toxicomanie puissante.
Il y a maintenant 400 ans que le mal du sucre livre notre race à la déchéance sociale, physique, morale et intellectuelle. Aujourd'hui, alors que le sucre attaque son pancréas et l'amène à une hypersensibilité qui l'entraîne à détruire le glucose du sang, alors que le café, le thé, les colas et le tabac épuisent ses surrénales qui ne réussissent plus à élever le glucose du sang, alors que la farine blanche et l'alcool affaiblissent son foie qui n'arrive plus à stocker correctement puis à relâcher le glucose dans le sang, pour l'homme de la fin du 20ème, le mal du sucre s'appelle : L' HYPOGLYCÉMIE.
Evolution approximative de la consommation de sucre dans les "pays évolués",
au cours des 300 dernières années, par personne et par an :
En 1700 2 kilos par personne et par an
En 1800 8 kg
En 1900 38 kg
En 1933 48 kg
En 1970 55 kg
et de nos jours, dans certains pays, cette consommation approche les 90 kg